Soutien et entourage
Je remercie Seb Sauvage d'avoir fait suivre ce message que je vous invite à lire.
Lisez attentivement...
Suite à la lecture de ce message, je ne peux que confirmer deux choses essentielles. La première est qu'on doit parler, s'ouvrir quand on le peut aux gens qu'on aime. Je sais que ce n'est ni simple ni forcément un réflexe, mais toujours est-il que l'amitié et l'amour de nos proches ne se ressent que lorsqu'on en a vraiment besoin. Comme l'a dit un de mes potes "Ce n'est que dans la merde que tu vois qui veut encore te tendre la main", et le bonhomme sait de quoi il parle (je passe sur le pourquoi de cette dernière remarque). La seconde... qu'on est parfois heureux de trouver quelqu'un de proche pour se libérer du poids de l'existence.
Ne soyez jamais isolé. Ne soyez jamais convaincu que "je l'emmerde si je vais lui parler de mes galères". Vivre, c'est tout d'abord subir de plein fouet les horreurs de l'existence. Vivre, c'est avant tout se préparer à l'inéluctable rencontre avec la mort, qu'elle soit celle chez nos proches, que la nôtre en particulier. Faire abstraction des problèmes de la vie est impossible, car ils nous rattrapent toujours, tôt ou tard. Et, comme je l'ai déjà dit plus haut, être seul, c'est souffrir encore plus quand on plonge.
Certains diront que poster un tel message est exhibitionniste. D'autres diront qu'ils s'en foutent, ou au mieux qu'ils sont émus. Pour ma part, je dis simplement qu'il y a là un acte assez salvateur, car son rédacteur a pu se soulager le coeur d'un poids qui n'a rien de négligeable. J'ai eu dans mon entourage une jeune femme qui a connu quelque-chose de proche, et finissant en drame terrible. Sans aller dans le détail, j'ai vu à quel point elle a été marquée par cet évènement, et à quel point ça a pu lui peser au cours de sa vie. Sa solitude, le manque de soutien de son entourage ont été déterminants dans ses décisions ultérieures, comme celle de s'isoler de ses proches, voire même de couper les ponts avec certains d'entre-eux. De ce fait, je suis content d'avoir lu que l'auteur a pris le temps de se rapprocher, et d'être soulagé de voir qu'il avait des gens sur qui se reposer. Cela compte énormément, au quotidien, comme pour le futur, de pouvoir avoir des mains secourables et des gens vers qui se tourner.
J'ai un ami, probablement le meilleur et le plus fidèle qu'on puisse envisager. C'est le genre de type qui ne demande rien à personne, qui vit en marge, qui vit pratiquement en ermite, et qui pour autant est toujours disponible pour les siens. Je sais que je peux lui demander n'importe quel service, qu'il a toujours été entier, direct, franc, parce qu'on est comme deux frangins, deux cabochards qui se comprennent mutuellement. J'espère que vous tous, lecteurs, et toi auteur si tu viens me lire, vous avez quelqu'un comme cela près de vous. Ce sont des gens comme ça qui seront là, dans l'adversité et dans la joie, dans la peine et dans le bonheur.
J'espère de tout coeur que vous franchirez le cap de cette terrible difficulté. Je ne suis pas médecin; je ne suis pas plus de bon conseil. Tout ce que je peux vous souhaiter, c'est que cela aille mieux, que vous ayez un avenir plus radieux que cette terrible nouvelle à gérer. Je ne saurais vous dire comment vous devrez gérer s'il y a une interruption de grossesse, ou au contraire de devoir continuer coûte que coûte la grossesse, avec les risques et conséquences que cela implique.
Lisez attentivement...
Suite à la lecture de ce message, je ne peux que confirmer deux choses essentielles. La première est qu'on doit parler, s'ouvrir quand on le peut aux gens qu'on aime. Je sais que ce n'est ni simple ni forcément un réflexe, mais toujours est-il que l'amitié et l'amour de nos proches ne se ressent que lorsqu'on en a vraiment besoin. Comme l'a dit un de mes potes "Ce n'est que dans la merde que tu vois qui veut encore te tendre la main", et le bonhomme sait de quoi il parle (je passe sur le pourquoi de cette dernière remarque). La seconde... qu'on est parfois heureux de trouver quelqu'un de proche pour se libérer du poids de l'existence.
Ne soyez jamais isolé. Ne soyez jamais convaincu que "je l'emmerde si je vais lui parler de mes galères". Vivre, c'est tout d'abord subir de plein fouet les horreurs de l'existence. Vivre, c'est avant tout se préparer à l'inéluctable rencontre avec la mort, qu'elle soit celle chez nos proches, que la nôtre en particulier. Faire abstraction des problèmes de la vie est impossible, car ils nous rattrapent toujours, tôt ou tard. Et, comme je l'ai déjà dit plus haut, être seul, c'est souffrir encore plus quand on plonge.
Certains diront que poster un tel message est exhibitionniste. D'autres diront qu'ils s'en foutent, ou au mieux qu'ils sont émus. Pour ma part, je dis simplement qu'il y a là un acte assez salvateur, car son rédacteur a pu se soulager le coeur d'un poids qui n'a rien de négligeable. J'ai eu dans mon entourage une jeune femme qui a connu quelque-chose de proche, et finissant en drame terrible. Sans aller dans le détail, j'ai vu à quel point elle a été marquée par cet évènement, et à quel point ça a pu lui peser au cours de sa vie. Sa solitude, le manque de soutien de son entourage ont été déterminants dans ses décisions ultérieures, comme celle de s'isoler de ses proches, voire même de couper les ponts avec certains d'entre-eux. De ce fait, je suis content d'avoir lu que l'auteur a pris le temps de se rapprocher, et d'être soulagé de voir qu'il avait des gens sur qui se reposer. Cela compte énormément, au quotidien, comme pour le futur, de pouvoir avoir des mains secourables et des gens vers qui se tourner.
J'ai un ami, probablement le meilleur et le plus fidèle qu'on puisse envisager. C'est le genre de type qui ne demande rien à personne, qui vit en marge, qui vit pratiquement en ermite, et qui pour autant est toujours disponible pour les siens. Je sais que je peux lui demander n'importe quel service, qu'il a toujours été entier, direct, franc, parce qu'on est comme deux frangins, deux cabochards qui se comprennent mutuellement. J'espère que vous tous, lecteurs, et toi auteur si tu viens me lire, vous avez quelqu'un comme cela près de vous. Ce sont des gens comme ça qui seront là, dans l'adversité et dans la joie, dans la peine et dans le bonheur.
J'espère de tout coeur que vous franchirez le cap de cette terrible difficulté. Je ne suis pas médecin; je ne suis pas plus de bon conseil. Tout ce que je peux vous souhaiter, c'est que cela aille mieux, que vous ayez un avenir plus radieux que cette terrible nouvelle à gérer. Je ne saurais vous dire comment vous devrez gérer s'il y a une interruption de grossesse, ou au contraire de devoir continuer coûte que coûte la grossesse, avec les risques et conséquences que cela implique.
2 commentaires:
Merci beaucoup, car tu continues à écrire, je ne sais pas si tu as beaucoup de lecteurs ou pas (peut-être que tu as beaucoup de "lurkers"), mais en tout cas merci !
Je viens de "retrouver" ton blog, et j'espère que d'ici peu, je trouverais le temps de revenir ici ta prose.
Merci l'amis. À plus !
Merci pour le commentaire, cela me touche.
J'essaierai de trouver du temps.. un de ces jours:)
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