20 décembre 2007

Pour une fleur

Toi mon ange qui me manque si souvent,
Mon regard qui s'embrume face au vent,
Il s'assouplit alors quand tu apparais,
Alors je serre ton corps frêle au plus près,
Et j'embrasse tes lèvres.

Toi mes rêves assemblés pendant les nuits,
Quand je me réveille, légèrement je souris,
Car d'un songe tu t'es faite alors réalité,
J'admire dans ton sommeil ta beauté,
et j'embrasse tes lèvres.

Toi tu t'éveilles les cheveux défaits en bataille,
Et tu tends tes bras pour enlacer ma taille,
Tu colles tes seins sur mon coeur apaisé,
Puis l'on fond dans une pluie de baisers,
Et tu embrasses mes lèvres.

Tu me dis que tu désires mes reins,
Que j'entre au creux des tiens,
Je souris fier de l'invitation,
alors sans aucune répétition,
On s'embrasse du bout des lèvres.

Tu tires sur nous les draps et la couverture,
Qui recouvre de douceur notre futur,
Cet amour qu'on partage en secret,
Dans les gémissements qui sont des mets,
Qu'on goute comme nos lèvres.

Je serre mon étreinte sur ton corps léger,
Je me fonds dans ton sourire sucré,
Toi ma fleur de ton pollen sensuel,
Je m'enivre à ton parfum éternel,
et j'embrasse tes lèvres...

1 commentaire:

Anonyme a dit…

ça mériterait une chansonnette la dessus, parce qu'en dehors des frissons, c'est une larmichette que tu as volé...magnifique
merci
Didine