28 mai 2013

Le vert payant

Non, amis alcooliques et autres amateurs de comptoirs, je n'ai pas fait la moindre erreur concernant le titre. Je ne parlerai donc pas du tarif de vos nectars préférés, mais bien de verdure, de nature, de graines, donc de tout ce que le bitume tente d'effacer avec frénésie et acharnement... Mais là, dans un coin reculé de la salle, le petit angle obscur où se cache l'écologiste râleur, un type se marre et me pointe du doigt en m'insultant presque à coups de "Faux cul! Tu te moquais des écolos, maintenant tu les soutiens?", ou encore "Salaud! Tu parles de nucléaire, d'industrie, et maintenant tu veux jouer les saints protecteurs de notre Mère Nature?".

Quoi lui répondre?

Ah si je sais: "Je t'emmerde". Oui c'est vulgaire, virulent, méchant, mais cela vient bien du fond du coeur. Je n'ai jamais dit que l'écologie était une mauvaise chose, j'ai dit et répété, voire même martelé que nombre d'écologistes sont des harpies décérébrés qui pensent qu'on peut tout dire et faire sous prétexte de bonne conscience. Alors à ce Monsieur le con du fond de la salle, je dis "Ta gueule, assieds toi et prends le temps d'écouter", parce que j'ai de quoi dire et gueuler! Oui, je suis en pétard, oui, je vais faire mon enragé, parce qu'une fois de plus des lobbies se permettent encore et encore de vouloir prendre les gens pour des imbéciles, et finalement en faire du bétail sans cervelle.

Lisez donc ça, et préparez au passage les sacs à vomi (merci à Timo pour le lien)
Le lien de Timo (Le Hollandais volant)
Le résumé du pourquoi de ma colère, sur rtl.be

Vous n'avez pas la nausée? Vous n'êtes pas écoeurés par cette proposition de loi? Qu'on la résume pour les fainéants ayant choisi la voie la plus courte, à savoir me lire sans aller piocher dans les sources citées... En gros, imaginez donc un monde où des industriels de l'agroalimentaire réussissent à faire passer une loi où seules leurs graines sont autorisées, et donc ressemer votre jardin avec vos fruits, vos légumes, bref votre production devient un acte illégal et répréhensible. Hé, tas de j'en foutre, tas de débiles avides de profits faciles, la nature ne vous appartient pas plus qu'elle ne nous appartient. Tout comme nous, vous la squattez, vous la polluez, et surtout vous l'exploitez à outrance. Maintenant, vous avez le culot de dire "Maintenant ne plantez plus que ce que nous vous autorisons à planter". Je ne vois qu'une réponse à cette proposition: le poing dans la gueule. Hors de question que mon potager soit leur chasse gardée, hors de question qu'on vienne me dire "Non, plante nos OGM en lieu et place de cette espèce insuffisamment rentables pour nous".

Le monde n'est pas fait des graines de Monsanto et de mauvaises herbes. D'ailleurs, les vraies mauvaises herbes sont celles de Monsanto qui s'est fait une joie de stériliser le fruit de la pousse (donc on rachète chaque année de la graine), d'en bidouiller le génome (sans le moindre contrôle sanitaire raisonnable), et qui pardessus le marché créent des hybrides involontaires quand une espèce naturelle et une espèce trafiquée ont le malheur de se croiser. Ordures. Ne touchez pas à mes fruits ni à mes légumes! Et puis quoi encore? Demain, vous allez nous dire que le cerisier octogénaire de mon jardin n'est plus "sain" au titre qu'il n'est pas dans votre escarcelle brevetée?! Mais je vous emmerde! Ce cerisier était là avant vous, et il y restera, tout comme les tomates qui poussent et repoussent chaque année sans votre consentement.

Non, la nature n'est pas un dossier comptable. Non, les potagers ne sont pas des territoires à contrôler. Et oui, vous êtes des pourris qui se permettent de faire légiférer l'Europe pour votre seul bénéfice. On va me dire "C'est pour éviter la contamination, la dissémination de plantes indigènes...". Bla bla et mensonges. Tas de cons, je vous rappelle que plein de choses aujourd'hui ordinaires viennent justement de la main de l'homme: la pomme de terre, c'est Européen peut-être? Et le riz? Non mais, vous vous foutez de qui là? Commencez déjà par ne plus fourguer par fûts entiers du poison comme vos pesticides et autres défoliants qui ne veulent pas dire leur nom (qu'est-ce d'autre qu'un défoliant, le Roundup? Arrêtez de parler de désherbant sélectif ou je vous l'injecte en intraveineuse pour le fun).

Ce monde est réellement à vomir, il donne largement la nausée, parce que non content de contrôler nos assiettes, les voilà lancés dans le contrôle hégémonique de nos jardins. Un petit acte citoyen simple mes amis: gardez précieusement des graines issues de vos propres productions, et surtout boycottez totalement toutes les sources d'achat de leurs graines. Au pire, fournissez vous chez les producteurs locaux, prenez de bonnes quantités de semis chez les vrais amoureux de la terre... Par les cons en costume qui veulent nous facturer le droit au potager, et pas plus les débiles qui ne savent pas ce qu'est vraiment défendre le monde et la nature.

27 mai 2013

Quand l'expression devient une marchandise

Dans un monde où l'information circule à travers des fils et qui est stockée sur une toile totalement obscure pour le commun des mortels, l'accès à la dite information semble être simple, et surtout complètement libre. Bien entendu, cela n'est envisageable que dans des démocraties, car la censure est quelque-chose de totalement admis et courant dans les dictatures (Chine, Syrie...). Seulement voilà, est-ce réellement aussi libre et aisé qu'on le suppose? A-t-on une image complète de la toile quand nous faisons nos recherches de données?

tout d'abord, quelques faits simples afin de faire comprendre le fonctionnement de la recherche. Pour procéder à une comparaison, nous devons nous intéresser au fonctionnement même de la toile, et la comparer à un autre fonctionnement qu'on pourrait croire "identique", celui de la téléphonie fixe. Pourquoi? Parce que dans un cas comme dans l'autre, nous supposons qu'un annuaire permet d'accéder à la liste complète des abonnés (numéros de téléphone, ou adresses de sites web), or c'est tout sauf le cas: le réseau téléphonique est centré, le réseau internet est sans véritable "centre", où chacun peut devenir client et serveur d'informations. Le résultat? Autant, tenir une liste de numéros de téléphones est particulièrement simple, puisque l'opérateur détient naturellement la liste des abonnés, autant créer un annuaire sur internet tient du miracle, puisque chacun peut, quand il le désire, offrir du contenu à chacun de nous.

En quoi est-ce si différent? Ca l'est pour trois aspects.
Un: les annuaires, ou ce que nous supposons à tort en être, doivent soit prendre des informations par les tiers en s'y inscrivant, soit le système de l'annuaire scanne la toile pour ajouter, mettre à jour, ou supprimer les références des sites dont il dispose déjà. Google en est l'exemple concret: les milliers de machines du géant Américain scrute constamment le réseau afin d'identifier le plus souvent possible les changements, et les répercuter aux utilisateurs quand ils interrogent ce listing mondial. Donc, le résultat est particulièrement impressionnant: non seulement l'annuaire ne peut être qu'incomplet, car le moteur de recherche ne peut pas accéder à tous les sites, mais en plus le fournisseur (Google dans notre exemple) peut tout à fait filtrer les résultats, exclure des informations, donc censurer l'annuaire! Est-ce de la donnée libre et complète? Assurément pas étant donné ce premier point.
Deux: les lois sur le droit d'affichage de l'information, les règles locales sur le droit à l'image, le copyright, ou encore la protection des mineurs sont particulièrement variables. Typiquement, les USA comme la France donnent la chasse aux contenus indésirables (selon des critères souvent douteux), tandis que d'autres pays sont particulièrement permissifs... Quand ça les arrange (propagande notamment). De ce fait, les dits annuaires ne restituent alors plus les mêmes contenus d'un pays à l'autre, voire même vont jusqu'à censurer automatiquement partout par défaut, afin de ne pas être en conflit avec une nation précise. Résultat des courses, encore une fois ce que vous affichez n'a rien à voir avec la réalité du réseau!
Trois: les propriétaires de droits (éditeurs, majors de la musique/cinéma...) sont des structures qui pèsent, en tant que clients de Google, des milliards chaque année. Clients? Oui, tout à fait! Sachez que Google se finance essentiellement grâce à ces sociétés, car le classement des sociétés et des sites sur "l'annuaire" est surtout tributaire des sommes versées par ces sociétés pour les faire progresser dans le classement. Quand vous cherchez des mots clés qui ne sont pas liés à ces structures, vous obtenez un classement à peu près légitime, lié au nombre de visites, ainsi qu' à la pertinence de la réponse. Par contre, dès que vous abordez la notion de média ou de produits manufacturés, là la chanson change complètement, car le classement n'a plus rien à voir avec une réalité en terme de restitution du classement. Quoi de plus énervant de voir en premières lignes des sites marchands, et non pas le site d'un fabricant? Quoi de plus gonflant que de passer des pages et des pages pour aller enfin trouver la bonne information? Encore une fois, ce qu'on vous affiche n'a plus rien à voir avec la réalité.

Là où tout devient particulièrement grave, c'est que ce dernier point est le plus important à retenir. Certains pensent que la censure est l'outil le mieux utilisé par les dictatures. Il n'en est rien. Le véritable maître de la censure est en fait le propriétaire des droits sur l'information: ayants-droits (musique, cinéma, livres, articles...), car lui et lui seul peut obtenir une censure mondiale de toute page ayant le culot de distribuer l'information sans son accord... ou sans lui reverser une dîme. Prenons un cas très concret: toutes les majors courent après les sites de diffusion en ligne pour faire censurer les musiques, extraits de films, ou encore traductions sous titrées de leurs oeuvres. C'est comme ça que Youtube (encore du Google) voit du contenu apparaître, puis disparaître... pour réapparaître plus tard via un autre compte quelconque. Cette chasse permanente pourrait sembler légitime, sauf qu'elle ne se cantonne pas à la musique et au cinéma! Est-ce normal qu'on puisse encore parler de droits d'auteurs sur des oeuvres de Hemingway? Oui, puisque la traduction en elle-même est une forme de droits d'auteurs. Est-ce logique de voir que le requiem de Mozart subit le même droit? Oui, puisque c'est l'interprétation qui a la notion. Est-ce normal de voir des droits sur le discours de M.Luther King? Oui, puisque les héritiers les ont réclamés!

Une fois ce tableau brossé, on comprend donc que si l'information écrite, filmée, ou enregistrée sur magnétophone peut être étiquetée avec un label, rien n'empêche ce même label de procéder à une censure systématique dans les médias de la toile. Concrètement, on a donc des organes qui peuvent décréter que tel discours historique doit quitter la scène, avec pour prétexte pourri qu'il n'y a pas de droit à le diffuser. Vous en voulez une preuve lamentable? (je vais atteindre ce foutu point Godwin, mais qu'importe): tous les discours filmés durant la seconde guerre mondiale. Chaque société équivalente à l'INA détient des droits sur les bandes de ces discours... Et réclament des droits pour les diffuser ou pour les exploiter. Cela veut dire quoi? Que vous ne disposez même pas d'images d'actualité sans qu'il y ait quelque-chose de versé à ces propriétaires. Hé, dites, l'Histoire n'est pas à vous, elle est aux citoyens! Pour moi, toute émission à but informatif (débat, discours, reportages) devraient être exclus du droit à l'image, parce que JUSTEMENT le rôle de l'information c'est de passer à tout le monde, de donner à chacun la possibilité d'en savoir plus; pas de vous gaver à chaque visionnage supplémentaire sur la toile!

La façon de régler ce problème? Trois étapes!
Un: plus de droits sur les documents à valeur historique. Plus question qu'un discours comme celui du pasteur King puisse être l'objet d'une gestion de droits.
Deux: revoir complètement le modèle économique sur la gestion des droits. Qu'on n'autorise plus ces renouvellements iniques de droits sur les traductions!
Trois: Réfléchir avec ces industriels une façon d'accéder librement aux contenus, sans avoir à pirater/contourner les lois. Pourquoi pas des abonnements inclus dans notre Internet? Pourquoi ne pas raisonner autrement? Le vol, ce n'est pas la copie. La copie, c'est la duplication. Je ne vole ni ne falsifie une donnée quand je la duplique... Donc qu'on arrête de dire qu'on vole. Qu'on lèse les auteurs, ça oui c'est réel, c'est malhonnête, mais ça n'est ni un vol ni même un hold-up. Et surtout, chères majors, rappelez moi combien vous versez aux ayants-droits "réels" face à vos rémunérations, et ensuite nous parlerons d'honnêteté intellectuelle.

Je suis gavé par ce mensonge global où l'on fait passer les Chinois pour les pires, alors que sous notre nez des Google, des Columbia, des cabinets obscurs d'avocats vous transforment l'information à votre insu, le tout en prétendant que "c'est pour votre bien". Maintenant, interrogez-vous, ne vous arrêtez surtout pas à la première page de quelque moteur de recherche que ce soit. Creusez, piochez, comparez, recoupez. Plus vous fouillerez, plus vous serez écoeurés par l'attitude de ces structures... Et plus vous les combattrez "passivement" en évitant leurs services, en boycottant ceux qui utilisent vos données pour s'enrichir, bref en faisant un usage citoyen du net.

21 mai 2013

C'est bon d'être con parfois, hein le Duc!

Ah, mais je crois qu'il y a quelques lecteurs qui se languissaient de mes coups de sang, de ma gouaille (parfois maladive), et de mes grognements. Et pourtant, ce n'est pas peine d'avoir eu envie d'écrire, mais certaines obligations se font plus impérieuses que nourrir votre vorace passion pour les plumes décalées (bande d'affamés!). Bref, désolé du retard, me revoilà pour placer un excellent souvenir personnel, à savoir un film que j'adore, non mieux encore que j'adule, tant il est décalé, profondément bizarre, mais hautement intéressant.

The big Lebowski.

Comment décrire cet OVNI cinématographique? Comment même vous préciser à quel point tant les auteurs que les réalisateurs et les acteurs sont perchés bien haut dans le ciel, comment ils sont hors de tout contact avec le sol, et que nous, pauvres spectateurs bien pris au dépourvu? Les mots peuvent vraiment manquer, je dirais qu'à ce point de "C'est quoi ce truc", on en est rendu à la spéculation et aux phénomènes hallucinatoires... Et le tout dans une jubilation plus que profonde.

Alors oui, déjà, vous vous doutez bien qu'après une telle dithyrambe il va y avoir nécessairement une description du scénario, quelques détails sur des scènes clé... Mais allons pour le contrepied total, essayons autre chose, à savoir vous donner envie de voir (ou revoir) ce film sans trop en éventer quoi que ce soit! Cela semble simple, du moins en général, surtout quand on est face à une bande annonce aguicheuse, pétrie à coup de musique "épique", d'images stroboscopiques et de plans rapides, et accessoirement assaisonnées de quelques nanas bien foutues à fortes poitrines... Mais là, non, c'est plus complexe, il faut que je couche sur le papier - sur mon clavier en l'espèce - de quoi vous faire saliver, vous stimuler le cortex, tout en restant plus que discret sur la forme, les personnages, bref sur ce qui fait le sel de "The big Lebowski".

Alors je m'y mets. Tout d'abord, ce film est l'essence même de la moquerie subtile des mauvais polars. Pamphlétaire, provocateur, l'oeuvre se paie ouvertement la tête de ces films qui se prennent au sérieux, tant sur le fond que sur la forme. Lebowski aurait pu être un énième film policier d'action, si le tout n'avait pas été volontairement perverti par des frères Coen probablement hilares à chaque moment du tournage. Ce film, c'est un cadeau aux amateurs de cinéma de genre, une sorte de cri d'amour profond pour les personnages torturés, les antihéros, bref tout ce qui fait l'essence des films de genre à l'américaine. Au lieu d'être stressés par des situations classiques de polars, vous y serez pris de fous rires, et même sûrement stimulés à l'idée de trouver des références à autre chose, à d'autres films, donc vous serez amenés à ne pas être passifs face à ce film. Et rien que ça, c'est déjà un exploit en soi. Loin du popcorn, restez très loin même du popcorn, sous peine de risque l'étouffement lors d'une crise d'hilarité sincère et bien venue.

Un bon film? Les gens en parlent, le critiquent, grognent et vocifèrent, opposant les amoureux de ce "truc", et ceux qui n'ont rien trouvé dedans. Aux deux je peux dire "Vous avez raison!". "The big Lebowski", en hymne au nanar policier, en mettant en place une intrigue aussi dingue qu'absurde, vous fera soit repousser le film en le jugeant comme un navet, ou au contraire l'aimer avec tendresse, parce que chaque bizarrerie, chaque tache sur le corps de ce film est voulue. Il n'y a rien à jeter, si ce n'est le tout quand on n'apprécie pas la chose. Pour faire un parallèle, c'est comme siroter un excellent Whisky: soit vous aimez ces saveurs boisées et ce parfum si caractéristique, soit vous fuyez la chose parce que vous ne lui trouvez rien d'autre qu'un retour en bouche et en gorge agressif et peu savoureux. Moi, je le goûte donc comme un 18 ans, une sorte d'apothéose du cinéma aimant le cinéma!

Les acteurs, qu'en dire? Tous sont au sommet! Cabotins, dans leurs rôles respectifs, comme disent les jeunes ils sont "au taquet". On sent que chacun s'est amusé, pour ne pas dire s'est éclaté à tenir des rôles aussi barrés, déjantés, décalés, bref des rôles qui vous collent ensuite à la peau comme la saveur d'un baiser après une nuit plus qu'agitée. The big Lebowski , c'est une aventure pétrie de drôleries, de grimaces, de mimiques, et de dialogues taillés sur mesure pour faire rire et réfléchir à la fois. Alors oui, on va me dire "c'est too much, ça dépasse les bornes, c'est con comme une paire de godasses usagées"... Mais c'est le but bordel! Cette oeuvre n'a pas d'autre but que d'être jubilatoire, une sorte de petit péché, comme la tablette de chocolat qu'une femme fière de sa ligne cache à ses copines mannequins. Plaisir coupable? Oui, assurément, car ce n'est ni une pointure dans les effets spéciaux (il y en a d'ailleurs... subtils mais complexes d'ailleurs!), ni même dans le rendu. Quoique. En y songeant bien, n'est-ce pas là du talent que de faire oublier la technique au profit du fond lui-même?

Offrez vous un moment de Lebowski, accrochez vos zygomatiques, préparez le Synthol pour les soulager après la séance, car pour moi nombre de répliques sont parfaitement cultes dans ce film. Et puis, pour finir et vous faire baver un peu plus (bande de gourmands), je vous mets la bande annonce ci-dessous!

BON FILM!

Ah PS: les anglais ont une expression pour décrire de style... c'est le WTF: What The F*ck... (en gros "C'est quoi ce bordel?")

16 mai 2013

Plus de 70 ans après... toujours d'actualité.

Charlot avait raison... il suffit d'écouter ce discours issu du film "le dictateur". Tout est dit, et 70 ans après (le film est sorti en 1940), rien n'a réellement changé.

07 mai 2013

Leçon de savoir vivre à la Russe

Observez... et apprenez!